31 mars 2017

Premier jour à Sydney

 

Après une courte nuit due au jetlag, nous prenons un bon petit déjeuner à la Buvette, resto tenu par un Frenchy, où les croissants sont d'enfer!



Sur le wharf Woolloomoolooon admire d'anciens docks transformés en hôtel de luxe et restaurants mais aussi des navires de guerre et un drôle de kiosque dont l'histoire a commencé en 1938 le café de Wheels Harry's bien connu des vedettes pour ses célèbres pie Tiger.








Notre premier kangourou...





Un peu plus loin, un des plus anciens jardins botaniques de Sydney(1820), le Royal Botanic GardenTrès vallonné, il descend doucement sur la mer en nous offrant une vue imprenable sur l'opéra et l'Harbour Bridge.




Ce parc est très animé; touristes, joggeurs au physique irréprochable un tantiné sexy et des écoliers en uniforme.



 Le régne animal n'est pas en reste de nombreux oiseaux et si on regarde bien de grandes toiles avec en leur centre une grosse araignée prête à bondir sur sa proieComme ma seconde phobie sont les araignées alors là je suis servie, je reste bien au milieu des allées et surtout quand je me pose sur un banc, il doit être loin de toutes végétations!

















En sortant du parc une amie backpacker nous propose de faire le circuit dans le jardin en petit train qu'elle conduit et nous voilà répartis, cool!
En sortant nous regardons le fameux opéraJe ne suis pas très sensible à son architecture mais c'est quand même l'icône contemporaine de Sydney!






Il représente les voiles gonflées de deux navires. Commencé en 1959,il a fallu 14 ans pour le finir.
Nous déjeunons à ses pieds. Sur les quais de nombreuses mouettes sont à l'affût du consommateur qui ne surveille pas son repas, gare à lui!




Pour nous :hamburger, salade grecque et croquettes de poisson, les assiettes sont plus équilibrées qu'aux USA et pour une fois je découvre que les Australiens boivent du cidreEnfin un pays où je vais pouvoir étancher ma soif!





Repus, nous allons dans le quartier des RocksEn 1788, on y mettait les bagnards puis les marins, les charpentiersAu départ malfamé, toutes les petites maisons de pierre dans des ruelles étroites comme sur le vieux continent laissèrent leur place à des maisons bourgeoises aux vérandas en fonte
 ouvragée.





En revenant vers le centre nous allons à la non moins célèbre tower de Sydney





Pour pouvoir profiter de la vue à 360°, il nous faut débourser la modique somme de 20 DA en boisson par personne au bar que c'est cruel!Et il faut respecter le Drees code pas de Tong! Nous sommes obligés d'acheter des chaussures pour Ophélie !
Nous ne le regrettons pas surtout qu'il fait beau, un cocktail à la main bien installé devant le panorama.




 C'est le sol du bar qui tourne doucement, il faut 45 minutes pour faire le tour complet







 

À faire et à déguster avec modération bien sûr.
C'est fini pour aujourd'hui, un Fish et Chips et au lit!














29 mars 2017

A nous l'Australie


 
Ça fait deux ans que nous ne sommes pas partis en Vacances et 18 mois que nous sommes éloignés de notre fille Ophélie qui vit sa vie de backpacker en Australie.
Mais qu'est elle partie faire sur cette terre lointaine, aride, mystérieuse voire dangereuse... Mes connaissances sur ce pays se limitent à peu de chose: crocodile Dundee, Kylie Minogue, les Aborigènes et leurs didgéridoos et les fameux kangourous dont un célèbre représentant a enchanté mes mercredis après-midi à la TVSkippy !




Donc pour retrouver notre progéniture, nous partons avec nos fidèles sacs à dos vers ce territoire qui fait 14 fois la superficie de la France.
En premier, il me faut affronter une de mes pires phobies l'avion et cela pendant 21 heures avec un arrêt à Dubaï.




Pas grand-chose à signaler, quelques secousses et un battement d'aile saugrenu qui laissèrent échappés des petits cris de femmes et enfants apeurésMoi, rien pas un son... complètement repliée dans mon désordre intérieur, regrettant amèrement de ne pas avoir fait des séances d'hypnose pour affronter sereinement cette épreuve!
À Dubaï alors que l'on pensait respirer une bonne heure, le retard du vol en a décidé autrement et nous voilà parti pour une course contre la montre pour ne pas rater notre correspondance; nous embarquons de justesse et je retiens mon souffle jusqu'à l'atterrissage 12 heures plus tard.
Enfin quel bonheur sans pareil de retrouver notre grande tête blonde.
À nous l'Australie...